Il y a toujours des animaux, surtout des chiens et des mammifères sauvages, qui meurent de la rage sans qu’on le sache, parce qu’on ne les retrouve pas et qu’on ne peut donc pas les tester. Par expérience, on sait que pour un cas de rage détecté, il peut y en avoir 10 à 20 autres dans la même région. Un seul cas de rage animale dans une région peut n’être que « la partie émergée de l’iceberg ».
5.7 Qu’est-ce qu’un cas de rage animale nous dit dans un contexte épidémiologique ?
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Les conditions essentielles d‘un programme de surveillance adéquat
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5.1 Que faire des données/informations recueillies ?
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5.2 Qu’est-ce qu’une base de données nationale sur la rage, et pourquoi est-elle nécessaire ?
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5.3 Qui se charge de créer et de gérer la base de données ?
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5.4 Comment créer une base de données ?
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5.5 Pourquoi mener une analyse épidémiologique ?
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5.6 Pourquoi cartographier les cas de rage et les cas négatifs?
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5.7 Qu’est-ce qu’un cas de rage animale nous dit dans un contexte épidémiologique ?
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5.8 Quelles sont les difficultés rencontrées par la surveillance de la rage ?
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5.9 Quelles données supplémentaires peut-on recueillir à l’appui de la surveillance de la rage ?
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[en]Version 1 Last updated December 2014[fr]Première version, dernière mise à jour Juin 2015